FIL SUR L' ARCHITECTURE ET L' ARTISANAT
Cette partie de mon site personnel comprend quelques projets urbains que j’ai conçus et dessinés (mentionnés en rouge dans la colonne de droite) ; elle contient aussi des découvertes d’architectures passionnantes faites lors de mes voyages, projets qui ne m’appartiennent donc pas, mais que j’ai le bonheur de vous présenter car ils représentent mon idéal d’architecture..
Chine
L’ancienne ville de Pékin est composée d’un damier de « maisons à cours carrées » (appelées siheyuans) accolées entre elles, et desservies par des ruelles, souvent étroites, appelées hutongs. Les cours et les ruelles étant plantées, l’ancien Pékin était une ville-jardin, sous une frondaison d’arbres.
Arbres, fruitiers, potagers, volières d’oiseaux occupaient l’espace des cours carrées pékinoises, et rendaient compte de l’ancienne vie familiale dans les siheyuans. Voici une cour, filmée en 2007, qui exprime la richesse de ces espaces.
Promenade photographique la nuit tombée dans les hutongs et dans le quartier chinois de l’ancienne ville, au sud de la place Tiananmen (Dazhalan – voir ma vidéo sur ce sujet, filmée en 2007).
Japon
Une ancienne villa à Kyoto, de l’époque Meiji. L’architecture, tout simplement (et savamment).
Les rojis sont des sentes piétonnes qui desservent les maisons en coeur d’îlots, dans les villes japonaises. C’est une forme urbaine typiquement japonaise observée par Augustin Berque.
Ceux qui ne connaissent pas Tokyo en ont souvent l’image d’une ville haute, moderne et agitée. Pourtant Tokyo recèle de nombreux quartiers bas et dense où l’atmosphère est calme et chaleureuse, comme ici dans le quartier « Yanaka ».
A l’origine, Edo était un petit village de pêcheurs, à l’embouchure de la rivière Sumida, au fond d’une baie et protégé de l’océan…
Shikiri et tsukuroi sont deux notions différentes, mais elles renvoient toutes deux à l’esthétique japonaise, dans le domaine de l’architecture, mais aussi des objets et même des jardins.
Thaïlande
Maroc
Je vous présente ici la dar (dar est un mot féminin en arabe) où j’ai séjourné à Marrakech et son plan reconstitué au plus proche de la réalité.
La médina dans son enceinte était ceinturée de végétation, dont l’immense palmeraie qui se développait au nord est de la ville…
A l’origine un « douar » est un campement nomade constitué de tentes disposées en cercle. Cette forme évolue ensuite, et donne naissance aux dars qui constituent les médinas…
Tigmi est un des premiers villages berbères au sud de Marrakech, en direction de l’Atlas.
Mayotte
Paris
Projet dessiné en 2000-2001 pour transformer l’espace des Halles à Paris en grande place publique et piétonne, au coeur de la ville.
Projet de place publique
Projet de réaménagement de la place de la Bastille dessiné en 2014.
Projet de place publique
Projet d’aménagement des berges de la Seine à Tolbiac-Masséna, pour faire vivre et animer les bords de Seine au delà du coeur de Paris.
Projet d’aménagement urbain
Reconstituer le sol naturel de la ville et créer une maille de belles avenues desservant le quartier de plain-pied, comme à New-York ! Poser les tours sur le sol naturel…
Projet de réparation urbaine
Le coeur de la ville a été vidé de son sens et coupé de son histoire : la cathédrale semble orpheline au fond d’une esplanade totalement disproportionnée… Les documents historiques conservés nous permettraient de réparer cette erreur et de resserrer la ville sur ce lieu, dans son coeur.
Projet de rénovation urbaine
Grand-Paris
Ce projet de très grand parc urbain a été dessiné en 2000-2001, avant que la Plaine Saint-Denis ne soit urbanisée, pour « relier » Paris, Saint-Ouen, Saint-Denis et Aubervilliers dans un grand espace commun partagé, destiné notamment aux jeunes et à leurs activités sportives, culturelles ou de formations professionnelles.
Projet de grand parc urbain
Observation et analyse de l’espace urbain de l’agglomération parisienne à partir d’une photographie satellite avant d’envisager un vaste projet de rénovation urbaine.
Etude urbaine
Suite à l’étude urbaine qui précède, dessin d’un grand projet pour sanctuariser des vides à l’intérieur de l’agglomération parisienne et y créer des espaces de nature et de respiration. Une grande « traversée » de nature pour sortir de la ville dense plus facilement, depuis son centre.